Une étude récente explore la valeur d’application des modèles de trous noirs non singuliers en astrophysique, en se concentrant particulièrement sur l’interaction entre la métrique de Hayward en rotation et les champs de plasma. Cette recherche sur les modèles de trous noirs non singuliers, en comparant avec le modèle traditionnel de trou noir de Kerr, révèle les avantages potentiels de la théorie des trous noirs sans singularité pour simuler les phénomènes observés.

L’équipe de recherche a utilisé la métrique de Hayward en rotation comme cadre de base, introduisant une méthode de simulation statistique pour les champs de plasma aléatoires. Ce modèle de trou noir non singulier, en simplifiant le flux de calcul, a réussi à reproduire les caractéristiques de variabilité lumineuse des disques d’accrétion des trous noirs. Les résultats montrent que, comparé aux modèles de trous noirs traditionnels, le modèle non singulier peut simuler plus naturellement des phénomènes observés tels que les mutations de champ magnétique.
Dans les modèles de trous noirs standard, l’effet de scintillation aléatoire devient souvent flou à des échelles observables, limitant sa valeur pour l’étude de la dynamique des trous noirs supermassifs. Cependant, les chercheurs ont découvert que, en raison de l’absence de structure singulière, le modèle de Hayward conserve des caractéristiques dynamiques plus claires, permettant des interactions plus significatives avec les simulations aléatoires. Cette caractéristique correspond précisément aux phénomènes de mutation de champ magnétique observés dans des trous noirs supermassifs comme M87*.











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